Avec vous : des solutions contre toutes les pauvretés

Aide à une personne de la rue

Le temps de Noël nous invite particulièrement à penser aux plus démunis. La Fondation Notre Dame vous permet d’exprimer votre solidarité en leur apportant des solutions pour vivre le plus normalement possible. Aidez-nous à soutenir ces associations dont l’action est si vitale pour ceux qui souffrent.

  Hébergement

Aider les personnes de la rue à trouver un logement

Les démarches administratives sont souvent insurmontables pour les sans-abri. Aux Captifs, la Libération va détacher auprès de quatre associations une travailleuse sociale. Elle ira à la rencontre de 200 personnes de la rue et les épaulera dans leur recherche d’hébergement.

Besoin : 26 000 €

Tendre la main aux réfugiés du Proche-Orient

Deux familles chrétiennes, l’une irakienne, l’autre syrienne, ont été prises en charge par l’association Les Réfugiés du Gros Caillou (7e ). Elle leur a trouvé un appartement – un rêve pour elles qui ont connu les camps –. Les parents, qui ont la volonté farouche de trouver un emploi, bénéficient de l’appui de dix bénévoles pour apprendre le français et réussir leur insertion.

Besoin : 4 000 €

Personne sans-abri

Faciliter l’installation d’une famille syrienne à Paris

La famille A. arrive de Turquie. L’ONU lui a accordé le statut de réfugiés, et la paroisse Saint-Paul (4e) a été contactée par la Préfecture pour la loger. Le Fonds d’Urgence lui a accordé une enveloppe pour régler les premiers loyers.

Besoin : 3 000 €

Aménager un local pour loger les sans-abri l’hiver

Chaque nuit, ils se recroquevillent dans le froid glacial. Comme 24 autres paroisses, Sainte-Jeanne de Chantal (16e) se mobilise pour l’opération Hiver Solidaire. Elle doit réaménager un espace de 40 m² avec cuisine, douche et lits. Grâce à vous, trois personnes pourront y dormir au chaud, dans un cadre convivial et fraternel.

Besoin : 30 000 €

Accueillir des mères sans papiers en grande précarité

Installé près de Meaux, le foyer Saint-Benoît-Joseph Labre héberge une douzaine de femmes venant de tous pays, sans ressources pour élever leurs enfants en bas âge. Il leur propose des cours de français et les guide pour leur régularisation. Nous les aidons chaque année.

Besoin : 25 000 €

Reprendre pied via un appartement « passerelle »

Pour aider une famille défavorisée vivant dans un studio insalubre de 20 m² à se réinsérer, l’Association Sainte-Geneviève (15e) a besoin de rénover un trois pièces rue du Docteur Finlay.

Besoin : 3 250 €

Bouton don projets hébergement

Accueil des personnes de la rue

  Aide alimentaire

Homme accueilli au Café-accueil

Acheter des chaises pour une soupe solidaire

Forte de 120 bénévoles, Trinité Solidarité (9e) accueille à déjeuner plus de 200 personnes de la rue, quatre jours par semaine. Les bancs étant lourds à manipuler et générant une proximité physique source de tensions, l’association nous a sollicités pour financer 150 chaises.

Besoin : 2 236 €

Assurer un café-accueil pour 50 hommes en galère

Depuis vingt ans, dans la crypte de Saint-Jean de Montmartre (18e), vingt femmes tiennent un Café-Accueil aux Gens de la Rue tous les vendredis, de 10h à 17h30. Elles leur confectionnent des gâteaux de pain, des sandwichs ou des crêpes, discutent et jouent à des jeux de société avec eux au chaud, dans une ambiance familiale. Des amitiés solides se sont tissées, et la plupart des accueillis sont devenus des habitués.

Besoin : 6 800 €

Bouton don projets aide alimentaire
Épicerie sociale Magaliménil

Reconstituer les stocks d’une épicerie sociale

Tous les mardis, Magaliménil (20e) ouvre sa boutique solidaire à 120 familles en difficulté du quartier Ménilmontant. Elle a besoin de nous pour se réapprovisionner en produits alimentaires et en articles d’hygiène.

Besoin : 6 000 €

Cuisine de Solidarité ND de Tanger

Créer une cuisine pour accueillir les réfugiés

Voici deux ans, sœur Marie Joseph Biloa a créé Solidarité Notre Dame de Tanger (19e) pour aider les réfugiés installés sous la rampe du métro Stalingrad. Les tentes abritent des hommes jeunes, mais aussi beaucoup des femmes seules avec des enfants. Elles arrivent Érythrée, de Somalie ou d’Ethiopie et ont vécu des épisodes très traumatisants, parfois des viols.

Les bénévoles leur offrent un accueil fraternel pour les aider à se reconstruire. Trois fois par semaine, avec les paroissiens, ils préparent un repas chaud pour 40 réfugiés. Ce moment partagé favorise les échanges chaleureux entre les personnes. Mais il est urgent de pouvoir bénéficier d’une véritable cuisine.

Besoin : 8 500 €

 FND © DR / Pixabay © Engin Akyurt