Trouver des solutions pour aider les plus fragiles

À travers les associations qu’elle soutient, la Fondation Notre Dame s’efforce de répondre aux besoins matériels des plus déshérités mais pas seulement ! Elle veille aussi à créer du lien, à redonner confiance, à aider les gens à rebondir. Et cela change tout !

Toutes les initiatives présentées ici peuvent apporter aujourd’hui une aide précieuse aux plus faibles. Mais pour cela, elles ont besoin de notre soutien.

Distribuer des produits d’hygiène et des colis alimentaires

À Paris où la vie est chère, les plus fragiles se retrouvent parfois sans ressources dès le 15 ou le 20 du mois. Loyer, factures, transport… une fois les dépenses incompressibles réglées, il ne leur reste plus de quoi se nourrir correctement. Repérées par les services sociaux, ces personnes ou familles à très faibles ressources sont souvent orientées vers des associations de quartier, comme le Relais Fraternel dans le 13e ou Solidarité Saint Bernard dans le 18e. ET CELA CHANGE TOUT…

Dans le 18e, Solidarité Saint-Bernard remet des produits d’hygiène aux plus démunis

L’association – qui rencontre beaucoup de familles en grande précarité – sait combien les produits d’hygiène sont importants mais parfois inaccessibles pour les plus pauvres.

Pourtant, garder une bonne hygiène et prendre soin de soi est essentiel pour préserver sa santé et garder la tête haute.

En 2022, l’association espère pouvoir distribuer à 150 familles, des kits contenant ces produits essentiels.

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Pour atteindre son objectif de 5 900 kits hygiènes en 2022, il lui faudrait 10 000 €.

Chaque samedi matin, dans le 13e, le Relais fraternel distribue plus de 120 colis alimentaires

Installé dans la cour de la paroisse Saint-Hippolyte, ce nouveau Point Colis Solidaire est né en décembre 2020 mais a vite pris de l’ampleur.

Le Relais Fraternel a commencé ses distributions alimentaires fi n 2020, mais, sous l’effet Covid, les demandes ont vite explosé.

Les denrées de la Banque Alimentaire et les collectes en nature dans les supermarchés alentours ne suffisent plus. Nous sommes obligés d’acheter nous-mêmes des produits… ce qui devient problématique..

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Pour faire face aux besoins immédiats, un premier coup de pouce de 2 700 € est demandé.

« Au départ, il s’agissait de préparer et de distribuer 40 colis alimentaires destinés à des bénéficiaires vivant dans le quartier. Mais peu à peu, d’autres familles et personnes en grande difficulté sont venus pour s’inscrire. Aujourd’hui, sans soutien extérieur, impossible d’aider tout le monde ».

(Rosin Khor – Président du Relais Fraternel)

Aider les sans-abri à rebondir

On peut avoir connu la rue et s’en sortir. Mais pour rebondir, il faut se sentir épaulé. On peut avoir vécu l’exclusion et l’isolement et retrouver la joie de vivre en partageant son quotidien avec d’autres, comme dans une vraie famille. Oui, tout cela est possible grâce à des associations comme la Bagagerie d’Antigel du 15e et l’APA (Association Pour l’Amitié) qui développe des colocations solidaires. ET CELA CHANGE TOUT…

À la Bagagerie d’Antigel, dans le 15e, 48 personnes sans-abri peuvent poser leurs sacs
et se faire aider

Ici, on peut déposer ses affaires, sans crainte de se faire voler et avoir les mains libres pour circuler, entreprendre des démarches, se rendre à des rendez-vous.

C’est aussi un lieu où l’on peut boire un café, discuter, se changer… et même, désormais, être accompagné par une professionnelle dans ses démarches administratives. Et cela aussi, c’est important.

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Pour participer aux loyers du local de cette bagagerie en 2022, un soutien de 15 000 € est sollicité.

« Depuis le 1er confinement, plus de gens viennent aux permanences. Ils ont besoin de cela (…). Ces derniers mois, on a vu arriver aussi de nouveaux profils : des français qui ont été cassés par le Covid, qui ont perdu leur emploi. (…) L’arrivée de notre travailleuse sociale, en 2021, leur apporte beaucoup. ».

(Pierre de Laroche – Président de la Bagagerie d’Antigel)

Dans le 14e, l’Association pour l’Amitié espère accueillir bientôt 94 personnes
dans sa grande maison solidaire

Les Religieuses de l’Assomption ont mis à disposition de l’APA une grande partie de leur bâtiment, rue des Plantes, pour créer un lieu de vie partagé.

Une fois les travaux réalisés, cette maison accueillera 50 personnes ayant connu la rue et 44 jeunes adultes en activité professionnelle désirant vivre une expérience humaine riche de partage et d’amitié.

Suite à la crise sanitaire, les travaux ont été retardés et les coût se sont alourdis (hausse du prix des matériaux).

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Pour ouvrir cette maison solidaire d’ici fin 2022, nous avons promis 90 000 €.

Protéger les jeunes mères et les mineurs isolés

Bien connue du Diocèse de Paris, sœur Marie-Jo Biloa sait combien la rue peut être dangereuse. Dans le quartier de la Chapelle, où elle vit, de nombreux prédateurs rôdent, exposant les plus faibles à la violence, au trafic de drogue, à l’alcool, au vol et au banditisme. S’il est impossible de protéger tout le monde, Sœur Marie-Jo fait le maximum pour sauvegarder les jeunes mineurs isolés ainsi que les futures et jeunes mères. ET CELA CHANGE TOUT…

Pour les mères et leurs bébés, être aidées est souvent une question de survie

Pour Sœur Marie-Jo, impossible de laisser une femme enceinte ou une maman et son jeune bébé, à la rue.

Dès qu’un signalement lui est fait, elle met tout en œuvre pour trouver en urgence un hébergement. Une fois à l’abri du froid, en sécurité, la jeune ou future mère peut enfin respirer. Sœur Marie-Jo et ses équipes de bénévoles seront toujours là pour l’écouter, l’accompagner et l’aider à veiller sur son bébé.

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L’association prend tous ces frais à sa charge. Pour continuer en 2022, il lui faut réunir
60 000 €.

L’association a pris sous son aile 20 jeunes exilés, aujourd’hui scolarisés avec succès et bien encadrés

Malgré les épreuves traversées et les mois d’errance, les 20 jeunes sortis de la rue et pris en charge aujourd’hui ont retrouvé le chemin de l’école avec succès et se reconstruisent peu à peu, faisant de nouveau des projets d’avenir comme tous les jeunes de leur âge.

Chaque samedi, tous ces jeunes sont réunis pour un déjeuner convivial suivi d’un après-midi studieux, avec des professeurs bénévoles qui font du soutien scolaire. Des activités sportives et culturelles sont aussi régulièrement organisées avec eux.

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Pour prendre en charge ces 20 jeunes toute une année, un soutien de 130 000 € est demandé.

« J’ai quitté la Côte d’Ivoire à la mort de ma grand-mère. À mon arrivée Porte de la Chapelle, je dormais à la rue. Puis j’ai fait la rencontre de Sœur Marie-Jo qui m’a accueilli. Grâce à elle, j’ai pu reprendre l’école et obtenir mon BAC. Désormais je poursuis mes études en alternance pour devenir comptable. »

(Alassan, âgé de 22 ans)

AU TOTAL, il nous faut réunir 307 700 €
PARCE QUE CELA PEUT TOUT CHANGER
Merci d’avance de votre soutien

Photos : APA DR , Relais Fraternel DR, FND LLE , APA Elodie Perriot, Solidarité Notre Dame de Tanger, DR, Gil Cornet